
Le besoin
Tous les 5 ans, la communauté scientifique Océan-Atmosphère se réunit pour réaliser une étude prospective. Elle permet de répertorier les thématiques de recherche les plus prometteuses, les objectifs des organismes travaillant sur ce sujet et les moyens dont ils souhaitent se doter pour les atteindre. Long de 140 pages, le bilan de cette réflexion est destiné à un public de spécialistes. Le CNRS nous a contactés pour en rédiger une synthèse de 20 pages. Son objectif : permettre à des décideurs, notamment politiques, de comprendre la vision de la communauté scientifique sur la période 2023-2028.
Notre vision
Pour que les décideurs politiques comprennent les investissements à prévoir dans ce domaine, notre équipe a suggéré l’ajout de préconisations qui n’étaient pas présentes dans le document d’origine. Celles-ci permettent de mettre en lumière les thématiques nécessitant un soutien, en termes de moyens humains ou financiers, à diverses échelles, tant locales que nationales.
Notre objectif : permettre à des décideurs, notamment politiques, de comprendre la vision de la communauté scientifique sur la thématique Océan-Atmosphère.
Notre intervention
Outre la rédaction des textes, cette synthèse nous a donné l’occasion d’utiliser la toute nouvelle charte graphique du CNRS lors de sa mise en page. Nous sommes parmi les premières agences à l’avoir pratiquée ! Elle s’articule notamment autour d’un jaune lumineux qui marque la singularité du CNRS dans le paysage de la recherche.
En complément, notre illustrateur a créé des visuels originaux, qui sont venus enrichir une iconographie déjà étoffée. Car dans les airs, sous les mers ou près des pôles, les chercheurs de la communauté Océan-Atmosphère sont habitués à documenter leurs travaux avec des photographies de qualité.
ans, échelle de temps
pour la prospective
mots pour le document
d’origine
mots pour la synthèse
Les sciences de l’océan et de l’atmosphère sont d’une remarquable complexité. Notre rôle a été de montrer que la recherche fondamentale leur apporte un éclairage irremplaçable, et que sa contribution doit pouvoir s’inscrire dans la durée.
Nous sommes fiers de faire rayonner les savoirs et compétences du CNRS et de tous ses partenaires institutionnels : le CNES, l’Ifremer, le CEA, Météo France, l’ADEME, l’IRD et plus d’une quinzaine d’universités. Leurs travaux sont d’un intérêt majeur en période de bouleversement climatique. Désormais, cette synthèse se retrouve entre les mains de décideurs de premier plan dans notre pays : députés, ministres et élus locaux.